[ad_1]
OK, j’en conviens. C’est une expression un brin merdique. Et passablement datée. En mode « Ouais, j’ai dansé sur Las Ketchup et j’assume » Sauf que, si j’ai vraiment dansé sur Las Ketchup (surement la faute du pseudo DJ bourré au panaché lors de la boom de Xavier), je n’assume pas trop d’avoir déhanché mon grand fessier sur le morceau d’un groupe qui a un nom de sauce. Bref, trêve de condiments.
Je voudrais vous parler de deux boules qui font beaucoup de bien.
Et voilà, on va encore m’accuser d’avoir un humour graveleux (ce qui n’est pas totalement faux). Mais là, c’est en toute bonne foi, et sans sous entendu (ou presque).

Certes, la vanne était facile. Mais je vais VRAIMENT vous parler de deux boules qui font beaucoup de bien. Rien a voir avoir avec un cornet mangue – framboise ou tout autre duo d’éléments de forme ronde connu jusqu’alors.
En fait, ces deux bouboules magiques, c’est le dernier rejeton de BLACKROLL®. Tu sais, BLACKROLL®, la marque allemande de produits d’automassage. Tu as certainement déjà aperçu leurs balles et leurs rouleaux sur l’appli GOWOD, tandis que quelques gouttes de sueur te brûlaient la rétine. Et si tu lis le blog depuis un moment (j’espère bien, hein), j’ai déjà parlé de leurs produits à de nombreuses reprises.
Leur rouleau de massage ne me quitte pas…Enfin, toute proportion gardée…Je ne dors pas avec. Par contre, je bave abondamment sur leur oreiller ergonomique depuis quelques années et ma récup (et mes cervicales) ne s’en portent que mieux. Depuis je ressemble beaucoup moins à un Playmobil (OK, c’est aussi grâce à un bon coiffeur, qui n’utilise aucun ustensile de cuisine pour exhiber sa créativité et tenter de me transformer en ersatz du Nom de la Rose).

Bref, BLACKROLL® c’est un peu la Cristina Cordula de la récup, sans le regard plein de jugement quand elle découvre que tu as de la cellulite sur le boule (mais quelle idée de se mettre à poil devant un miroir, on se demande, hein).
BLACKROLL®, c’est un peu le Kevin qui met des paillettes dans ton entraînement et te permet de ne pas utiliser tes courbatures pour gratter des places dans la file d’attente de la boulangerie (regardez, je suis viiiiiiiiieux ! J’ai du mal à bouger ! Non Muriel, tu as juste tenté le WOD de forain et tu as assuré ta récup avec du Pepsi Max et des Monster Munchs).
Il se trouve que, par un miracle quelconque (ou un département innovation particulièrement efficace, pour ceux qui s’éloignent des théories monothéistes), BLACKROLL® trouve toujours de nouveaux produits pour optimiser notre récup. Après, tu adhères ou pas. Personnellement, j’ai appris à être une sorte de poule de luxe de l’automassage (cette phrase est tellement étrange). Avant, je détendais mes quadriceps avec du tuyau rayon plomberie de chez Lareine Merline. Certainement un lien avec des histoires d’aïeux italiens et de courses de kart. Ensuite j’ai acheté un rouleau hyper dense avec des pics. Un peu une sorte de Drazic du rouleau, la dent de requin en moins. Le jour où j’ai découvert le rouleau de massage BLACKROLL®, ma vie a changé. Ou du moins, la vie de mes quadriceps. Pareil pour le mini-rouleau, qui te permet détendre tes arpions après une journée à piétiner et tourner inexorablement sur ta chaise de bureau. Et là, tu n’es que paix et amour. Sauf si tu commences avoir faim. Là, il ne reste de 23 minutes avant la fin du monde.

Quand j’ai eu la possibilité de tester le Duoflex 12, ce nouveau produit de BLACKROLL®, j’ai d’abord été un peu dubitative concernant l’animal. Etait-ce un coton tige qui nous avait fait une poussée de croissance? Une arme destinée à un Intervilles, édition poupées Reborn? Pas du tout, Muriel. En fait, il s’agit « simplement » (enfin, c’est vite dit, il faut déjà avoir l’idée) de deux balles de massage réunies par une barre centrale flexible. OK, voilà pour le point route.

A quoi ça sert? Bah à se masser, Muriel ! Pas à monter des œufs en neige. Tu peux donc libérer tes vilaines tensions. Jusqu’ici, rien de nouveau. Mais en fait, si. Parce que, en rassemblant deux balles avec une barre centrale, qui plus est flexible, ça permet de se masser plus facilement qu’avec n’importe quel outil d’automassage. Parce que tu peux te torturer en long, en large et en travers (surtout de manière circulaire dans ce dernier cas). Ce qui permet de vraiment appuyer là où ça fait mal.
Précisément. Et, grâce à sa conception, le Duoflex 12 est idéal pour se masser le dos. Parce que tu as déjà réussi à te masser le dos correctement. En ce qui me concerne, j’y arrive autant qu’à faire du macramé, au grand désarroi de ma belle-mère (surtout en ce qui concerne le macramé parce que je pense qu’elle s’en secoue, de mon dos).


Là, l’animal ne risque pas de finir chercher la merde auprès de ma colonne vertébrale (bah oui, parce que l’automassage SUR la colonne vertébrale, c’est une fausse bonne idée Muriel). Les deux bouboules passent des deux côtés de l’arête centrale et en avant Guingamp. C’est particulièrement génial pour mes lombaires d’octogénaire et mes trapèzes, qui ont une légère tendance à flirter avec le sac de ciment. Autre zone particulièrement adaptée, les mollets.

Tu sais, comme quand tu fais des centaines de milliers de DU et que tu as l’impression qu’une partie de tes jambes est composée de 89% de polenta. Bah, là, roule ma poule, tu vas appeler ta mère (enfin, seulement si tu n’as pas engagé un psy à cause de ton enfance perturbée par l’abus de Nutella). Puis, tu vas chanter et danser, telle une ado qui a mangé trop de Savane et se secoue le palmier sur Las Ketchup.
Est-ce que ça remplace un rouleau? Assurément, non. Mais c’est probablement un des meilleurs compléments au rouleau, notamment pour détendre son dos, après un WOD ou une journée de merde avec Catherine de la compta.
Duoflex 12, BLACKROLL®, 39.90€.
[ad_2]
Source
Laisser un commentaire